dimanche 18 janvier 2009

C'est le PRINTEMPS....









" Le déchet le plus facile à éliminer est celui que l'on n'a pas produit. "


2 commentaires:

  1. Bois du compte, Bruyère de la Barthe, Champ clos, Champ des Martres, Champ des Mouges, Chante Perdrix, Costelet, La Barthe, La Poumaire, Le Buge de la Barthe, Les Moulaires, Les Saguetter, Pré clos, Taillechausse, Vazelliette.
    Si l'on consulte le cadastre on retrouve les noms des parcelles qui constituent le domaine de Vazeillette ( Vazeliette)
    Il y a des dénominations qui chantent. : Le champ des Martres, Chante Perdrix.
    D'autres qui expriment certainement un état des lieux: La Poumaire, les Moulaires.
    Si quelqu'un connaît la correspondance, l'origine de ces mots: qu'il se fasse connaître.
    Pour ma part, je suppose qu'il y avait des martres, des perdrix, des pommes !! de la bruyère,

    Et vous accepteriez que bientôt, ce site de Vazeillette s'appelle CET
    ( Centre Technique d'Enfouissement) ???

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  2. Il faut dénoncer vivement l'impuissance de nos élus qui n'ont pas été capables de définir une véritable politique de réduction de nos déchets à la source (tri, recyclage, collecte sélective au porte à porte, valorisation des déchets biodégradables).
    Ainsi, tout irait dans un grand trou... creusé par la société Pizzorno dans le seul souci de sa rentabilité. N'est-ce pas là le symptôme de notre société qui s'applique à enfouir faute d'une réelle volonté politique, sans se soucier des conséquences de ses actes pour les générations futures ?
    « Qui ne dit mot consent », comme dit la sagesse populaire.
    C'est une parfaite illustration de ce que l'on appelle communément faire la politique de l'autruche.
    Le marché des déchets est effectivement juteux, ce serait une manne financière pour la société Pizzorno et la commune de Saint-Beauzire.
    Qu'on fasse un référendum dans nos villages sur la gestion de nos déchets, et qu'on écoute un peu le bon sens de l'intérêt général, bien malmené par la toute-puissance des enjeux financiers, ce serait redonner force, voix et sens à nos engagements, et il est grand temps que nos représentants nous entendent.
    Une enquête publique aura lieu si le projet est maintenu. Il faudra alors que la population puisse inscrire ses observations en connaissance de cause sur les registres du commissaire enquêteur. Pour cela , il faudrait que l'ASEB rédige un contre-argumentaire technique présenté à la population du Brivadois.
    Toute la classe politique semble s'accorder enfin à reconnaître que la planète est à bout de souffle, mais il ne faudrait pas que cela en reste au niveau de discours et de signatures de pacte. Il est urgent que nos élus s'engagent concrètement et que notre préfet s'oppose fermement à un projet tel que celui de la société Pizzorno. En effet, confier nos déchets à un monstre boulimique qu'il faudra bien nourrir au nom de la rentabilité... et accepter une telle logique qui n'aurait d'intérêt qu'à sa seule expansion, c'est remettre aux calendes grecques une réelle volonté politique de réduction de nos déchets à la source... et sacrifier sans état d'âme tous nos villages.

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